This practice of forbidding the use of direct citations from the debates of the House of Commons, euphemistically identified as " the other place," was originally intended to prevent, according to Erskine May, fruitless arguments between members of two distinct bodies who are unable to reply to each other and to guard against recrimination and offensive language in the absence of the other party.
L'interdiction de recourir à des citations directement tirées des débats de la Chambre des communes, désignée par euphémisme «l'autre endroit», avait pour but à l'origine d'empêcher, d'après Erskine May, des arguments stériles entre les membres des deux entités distinctes qui ne peuvent pas se répondre mutuellement et de prévenir les récriminations et les propos abusifs en l'absence de l'autre partie.