Et, dans ce même article, où il exposait de façon critique la situation des puissances européennes – et je ne résiste pas à l’envie de citer ce qu’il disait de notre pays: «De notre perspective, avec la douceur azurée de notre tendre ciel et la simplicité satisfaite de notre nature semi-arabe (deux conditi
ons primordiales du bonheur dans l’ordre social), nous avons, semble-t-il, toutes les maladies de l’Europe, à des degrés variables – du déficit non co
nforme à ce nouveau parti anarchiste qui tient tout ensemble dans une banque de l’A
...[+++]venue» - cet auteur célèbre ajoutait: «Tous souffrent d’une crise industrielle, d’une crise agricole, d’une crise politique, d’une crise sociale, d’une crise morale».
And in that same article, where Eça de Queiroz describes the situation of the European powers (and I cannot resist quoting what he says about our country: “In our corner of the world, with the sweet azure of our beloved sky, the contented simplicity of our half-Arab nature (two vital conditions for happiness in the social order), we apparently suffer in varying degrees from all of Europe’s ills - from the crushing deficit to this new anarchist party whose entire membership would fit on a park bench)”. He then says: “We are all experiencing an industrial crisis, an agricultural crisis, a political crisis, a social crisis, a moral crisis”.