Il faudra revoir la politique étrangère canadienne, dont l'axe principal en ce moment est le commerce, sans l'associer suffisamment aux droits humains, sans l'associer suffisamment, encore une fois, et loin de là, non seulement au refus de l'écart entre les pays riches et les pays pauvres, mais dans l'aide au développement économique des pays pauvres.
We will have to review the Canadian foreign policy which, currently, is primarily based on trade, without being adequately related to human rights and without being adequately related, and far from it, to opposing not only the gap between rich and poor countries, but also to helping the economic development of poor countries.