En tant que membres de l’Union européenne, nous
devons adresser un message puissant à ce régime dictatorial et extrêmement autoritaire. En ce sens, je me range à l’avis des députés qui réclament instamment une pression politique accrue, une mise en œuvre accélér
ée des réformes, le blocage du transit de l’aide via le gouvernement ou le parlement, ainsi que l’allocation de subventions uniquement via les ONG. De plus, il est indispensable d’ouvrir cette enquête internationale. Si nous ne la menons pas, il sera tout simplement impossible
...[+++]de poursuivre l’accord de coopération et de partenariat conclu avec l’Ouzbékistan.