C’est pourquoi la Commission a demandé – et salué par la suite – l’accord de l’OMI qui devrait à présent réduire les émissions de dioxyde de soufre de 90 % et, ce qui est le plus important, les émissions de matières particulaires secondaires de 80 %.
That is why the Commission has called for – and subsequently hailed – the IMO agreement which is now estimated to reduce emissions of sulphur dioxide by up to 90% and, most importantly, emissions of secondary particulate matter by up to 80%.