La Cour constate également que, si un État membre reconnaît le droit à une compensation pour le préjudice moral subi, il ne peut pas prévoir pour cette catégorie spécifique de dommages, relevant des dommages corporels au sens de la deuxième directive, des montants maximaux de garantie qui sont inférieurs aux montants minimaux de garantie fixés par cette directive.
The Court also finds that, if a Member State recognises the right to compensation for non‑material damage suffered, it may not provide, for that specific category of damage – which falls under the category of personal injuries for the purposes of the Second Directive – maximum amounts to be guaranteed which are lower than the minimum amounts guaranteed under that directive.