Je ne peux conclure par aucun commentaire plus adapté que celui de Shakespeare dans Jules César : "Il y a une marée dans les affaires humaines. Quand on saisit le flux, il mène à la fortune ; quand on le laisse passer, tout le voyage de la vie échoue dans les bas-fonds et les misères. Maintenant, nous sommes à flot au large ; profitons des courants, tandis qu'ils sont propices, ou nous perdrons nos chances".
I can conclude by no better commentary than that of Shakespeare in Julius Caesar: 'There is a tide in the affairs of men which, taken at the flood, leads on to fortune; omitted, all the voyage of their life is bound in shallows and in miseries; on such a full sea we are now afloat; and we must take the current .when it serves, or lose our ventures'.