Recent studies on foetal alcohol syndrome have shown that even moderate consumption of alcohol may involve risk to the foetus, by altering the breathing of the foetus and reducing the flow of blood to its brain.
À ce titre, des études récentes sur le syndrome d'alcoolisme foetal ont permis d'établir que la consommation d'alcool, même modérée, pouvait quand même comporter des risques pour le foetus en entraînant des changements dans la respiration du foetus, de même qu'une diminution de l'irrigation sanguine de son cerveau.