Bien sûr, en réaction à cette situation, le milieu des affaires fait pression pour qu'on ouvre les quotidiens à un marché beaucoup plus vaste—c'est-à-dire à la prise de contrôle par les Américains—ce qui serait bien sûr nettement mieux que si la seule autre solution consistait à permettre à un nouveau géant canadien de dominer les médias.
The business response to that, of course, is pressure to open newspapers to the fate of so much else—that is to say, American takeover—and indeed, that could be the lesser evil if the only alternative is domination by a new Canadian media giant.