Il ressort des travaux préparatoires de la loi du 14 janvier 1993 « modifiant le titre Ier, règles préliminaires et le titre III, des exécutions forcées, de la Ve partie du Code judiciaire concernant les saisies co
nservatoires et les voies d'exécution et modifiant l'article 476 de la loi du 18 avril 1851 sur les faillites, banqueroutes et sursis » que le législateur a, comme lors de l'élaboration du
Code judiciaire, eu pour objectif « de tenter
de réaliser un juste équilibre ...[+++] entre la fermeté dont peut faire preuve le créancier qui se heurte à la carence, sinon à la malhonnêteté de son débiteur et la juste mesure que l'humanité comporte » (Doc. parl., Chambre, 1989-1990, n° 1114/1, p. 1).Aus den Vorarbeiten zum Gesetz vom 14. Januar 1993 « zur Abänderung von Titel I, Einleitende Regeln, und von Titel III, Zwangsvollstreckung, von Teil V des Gerichtsgesetzbuches über die Sicherungspfändungen und Vollstreckungsverfahren und zur Abänderung
von Artikel 476 des Gesetzes vom 18. April 1851 über den Konkurs, den Bankrott und den Zahlungsaufschub » geht hervor, dass der Gesetzgeber, wie bei der Ausarbeitung des Gerichtsgesetzbuches, bezweckte, « ein faires Gleichgewicht zwischen der Strenge, die der Gläubiger anwenden kann, wenn er auf die Nachlässigkeit oder gar Unehrlichkeit seines Schuldners stößt, und dem angemessenen Verh
...[+++]alten gemäß der Menschlichkeit zu verwirklichen » (Parl. Dok., Kammer, 1989-1990, Nr. 1114/1, S. 1).