Je continue d'aller plusieurs fois par an en Russie et chaque fois, je reviens tout aussi consterné par l'état des forces armées russes, y compris les forces stratégiques dont la moitié des membres vivent sous le seuil de la pauvreté; je do
is aussi parler des unités nucléaires dont beaucoup de membres souffrent d'alcoolisme et dont la plupart reçoivent un entraînement très insuffisant. Aujourd'hui en Russie, un pilote de bombardier
nucléaire stratégique suit un entraînement pratique de 10 à 20 heures de vol par an, ce qui n'est rien par rapport aux 250 h
eures de vol de son ...[+++]homologue américain.