Selon l’Allemagne, les paiements envisagés n’avaient pas pour seul but de décharger les radiodiffuseurs privés d’une partie des «surcoûts» leu
r incombant pour la transmission numérique hertzienne, mais ont aussi servi à compenser certains risques économiques assumés par les radiodiffuseurs privés (diminution des recettes commerciales, par exemple). La communication de 2003 concernant la conversion
numérique indique que «le risque de défaillance du marché est fonction de la complexité de l’environnement dans lequel s’effectue le passage au
numérique et des interactions entre l
...[+++]es principales parties concernées» (88).