Dans le volume quatre, le Comité signale que des sondages d’opinion publique révèlent que les Canadiens, confortés dans cette opinion par les politiciens et les médias, estiment jouir du droit constitutionnel de recevoir des soins de santé, bien que la Charte n’en fasse pas mention de façon explicite[1]. En fait, aucune loi canadienne ne confère explicitement ce droit, bien que les gouvernements aient mis en place des programmes établissant un régime de soins de santé financé par l’État[2].
In Volume Four, the Committee noted the existence of public opinion polls that reveal that Canadians, encouraged by politicians and the media, believe they have a constitutional right to receive health care even though no such right is explicitly contained in the Charter.[1] Nor does any other Canadian law specifically confer that right, although government programs exist to provide publicly funded health services.[2]