Si l'OTAN remportait la palme, c'est parce que Pearson, qui avait déjà présidé l'Assemblée générale des Nations Unies et qui était un habitué de New York, avait très bien compris que les Nations Unies étaient une institution paralysée et que si le Canada voulait faire entendre sa voix, ce serait dans le cadre de l'OTAN.
Peacekeeping came second. NATO came first because Pearson, as ex-President of the General Assembly of the UN, as a constant attendee in New York, understood very well that the UN was a paralysed institution and that if we were to make our opinion count, we had to participate in NATO.