Pas plus tard que la semaine dernière, Andrew Weaver, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en modélisation et analyse du climat à l'Université de Victoria et l'un des principaux auteurs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'ONU, a conclu que si l'on brûlait toutes les réserves de pétrole jugées économiquement viables des sables pétrolifères, l'effet serait négligeable, et que si l'on brûlait tout le pétrole des gisements exploités actuellement, il serait encore moindre.
Just last week, Andrew Weaver, Canada Research Chair in Climate Modelling and Analysis at the University of Victoria and a lead author of the UN Intergovernmental Panel on Climate Change, concluded that the impact of burning all the economically viable proven reserve of the oil sands would be negligible and that burning up all the oil in areas currently being extracted would have even less impact.