Mais si l'on regarde de plus près ces sources, on constate qu'une poignée d'universitaires cités à l'appui de cette thèse sont en fait des partisans de la «théorie du rapport étroit», un modèle relativement nouveau qui repose sur la dynamique commune de l'intimité humaine.
But if we follow their footnotes carefully, we see that the handful of scholarly authorities cited to support this thesis are typically proponents of something called “close relationship theory”, a new school of thought that searches for common core dynamics of human intimacy.