Mais dans ces classes d'enseignement du français-et j'ai moi-même entendu de nombreux témoignages de professeurs, de parents qui envoient leurs enfants là-il est clair qu'elles ne font pas partie d'un tout qui soit francophone, mais bien plus d'un tout qui est de langue anglaise avec des classes françaises (1530) L'effet connu, c'est que les jeunes, quand ils von
t quitter le réseau élémentaire et scolaire, et ne plus être tenus à l'obligation d'étudier en français, vont largement demeurer dans l
e réseau ...[+++] des cégeps anglophones.