Premièrement, face à l'accroissement régulier de la productivité du travail, la croissance macro-économique dans la Communauté a été trop faible pour permettre la création d'un nombre suffisant d'emplois. Deuxièmement, durant la période qui a suivi le premier choc pétrolier, le niveau élevé des coûts salariaux et non salariaux du travail, et, dans certains cas, l'existence de réglementations rigides sur la sécurité de l'emploi, ont diminué l'intérêt du travail comme facteur de production.
Secondly, following the first oil price shock, high wage and non-wage labour costs as well as, in some cases, rigid employment security rules reduced the attractiveness of labour as a production factor.