En l'occurrence, le Conseil national des lignes aériennes du Canada, une association représentant les quatre grandes compagnies — Air Canada, WestJet, Air Transat et Jazz — a soutenu qu'en dépit d'une intention parfaitement louable, le projet de loi pénalisait en fait les compagnies qui étaient tenues responsables de situations échappant à leur contrôle.
In fact, the National Airlines Council of Canada, an industry association comprised of Canada's four largest passenger airlines Air Canada, WestJet, Air Transat and Jazz argued that while the bill's intent was commendable, it actually penalized airlines for situations that were simply beyond their control.