J'oppose à ce constat l'idée libérale, mais non particulièrement critique pour l'État, qu'il existe des domaines qui ne concernent aucunement l'État, par exemple, la confiture que l'on préfère, l'épaisseur des vêtements que l'on porte en hiver, ou les stupéfiants que l'on fume, que l'on sniffe, que l'on boit ou que l'on s'injecte.
Dem setze ich die liberale und gar nicht besonders staatskritische Idee entgegen, dass es Dinge gibt, die den Staat schlicht nichts angehen, beispielsweise welche Marmelade man gerne isst, wie warm man sich im Winter kleidet oder welches Rauschmittel er oder sie gerne raucht, schnupft, trinkt oder injiziert.