La loi du 28 mars 2014 précitée « réserve l'action en réparation d'un dommage collectif à certains requérants auxquels elle reconnaît une qualité particulière pour agi
r et représenter un groupe de consommateurs, sans qu'ils
aient à établir un intérêt personnel et direct » (Doc. parl., Chambre, 2013-2014, DOC 53-3300/001 et 3301/001, p. 7); ces requérants sont « sélectionnés par le législateur sur la base de l'intérêt ou de l'objet social particulier qu'ils défendent et représentent » (ibid., p. 12) : « Le résultat de cette action bén
...[+++]éficiera ensuite à un groupe de consommateurs qui ne sont pas encore nommément identifiés au moment d'introduire l'action » (ibid., p. 7).Das vorerwähnte Gesetz vom 28. März 2014 « behält die kollektive Schadenersatzklage gewissen Klägern vor, denen es eine besondere Befugnis zuerkennt, um
zu klagen und eine Gruppe von Verbrauchern zu vertreten, ohne dass sie ein persönliches und direktes Interesse nachweisen müssen » (Parl. Dok., Kammer, 2013-2014, DOC 53-3300/001 und 3301/001, S. 7); diese Kläger werden « durch den Gesetzgeber auf der Grundlage des besonderen gesellschaftlichen Interesses oder Ziels, das sie verteidigen und vertreten, ausgewählt » (ebenda, S. 12): « Das Ergebnis dieser Klage kommt anschließend einer Gruppe von Verbrauchern zugute, die noch nicht nament
...[+++]lich identifiziert waren zum Zeitpunkt des Einreichens der Klage » (ebenda, S. 7).