La Cour précise encore : « Si la règle voulant que le nom du mari soit attribué aux ' enfants légitimes ' peut s'avérer nécessaire en pratique et n'est pas forcément en contradiction avec la Convention (voir, mutatis mutandis, Losonci Rose et Rose, précité, § 49), l'impossibilité d'y déroger lors de l'inscription des nouveau-nés dans les registres d'état civil est excessivement rigide et discriminatoire envers les femmes » ( § 67).
Der Gerichtshof hat ferner präzisiert: « Auch wenn die Regel, wonach der Name des Ehegatten den ' ehelichen Kindern ' gewährt wird, sich in der Praxis als notwendig erweisen kann und nicht notwendigerweise in Widerspruch zur Konvention steht (siehe, mutatis mutandis, Losonci Rose und Rose, vorerwähnt, § 49), ist die Unmöglichkeit, bei der Eintragung der Neugeborenen in den Standesamtsregistern davon abzuweichen, übertrieben starr und diskriminierend gegenüber den Frauen » ( § 67).