Certains parlementaires considéraient de même qu'ils « n'ont pas le pouvoir de modifier le permis [.] ou d'imposer de nouvelles conditions » (Doc. parl., Parlement wallon, 2008-2009, n° 933/2, p. 7), ou encore qu'« [à] partir du moment où, dans le décret DAR, il y a une liste
de dossiers dits d'intérêt général, le Parlement n'aurait plus comme seul rôle que de dire oui ou non » (ibid., p. 10); qu'il a été confirmé « que ce qui est discuté, ce sont les motifs impérieux d'intérêt
général, et en aucune manière, les travaux d'exécution d'un permis », que la
...[+++]mission du parlementaire « consiste à juger si oui ou non, le travail proposé relève d'un motif impérieux d'intérêt général » (ibid., p. 12), ou que les parlementaires n'ont pas à se « prononcer sur le fond du dossier » (CRIC, Parlement wallon, n° 81, 2008-2009, séance du lundi 16 mars 2009, p. 11), ou que le Parlement n'aurait « aucun pouvoir d'appréciation » (ibid., p. 13).Ebenso waren gewisse Parlamentarier der Auffassung, dass sie « nicht ermächtigt sind, eine Genehmigung zu ändern oder neue Bedingungen aufzuerlegen » (Parl. Dok., Wallonisches Parlament, 2008-2009, Nr. 933/2, S. 7), oder dass « ab dem Zeitpunkt, wo im DAR-Dekret eine Liste von so genannten Akten des Allgemeininteresses enthalten ist, das Parlament nur noch die Rolle hätte, Ja oder Nein zu sagen » (ebenda, S. 10), dass bestätigt werde, « dass die zwingenden Gründe des Allgemeininteresses erörtert werden und auf keinen Fall die Arbeiten zur Ausführung einer Genehmigung », dass die Aufgabe eines Parlamentariers « darin besteht, zu beurteilen, ob die vorgeschlagene Arbeit zu einem zwingenden Grund des Allgemeininteresses gehört » (ebenda, S. 12
...[+++]), oder dass die Parlamentarier sich nicht « zum Inhalt der Akte zu äussern haben » (CRIC, Wallonisches Parlament, Nr. 81, 2008-2009, Sitzung vom Montag, dem 16. März 2009, S. 11), oder dass das Parlament « keinerlei Ermessensbefugnis » habe (ebenda, S. 13).