Au lieu des procédures d’infraction ouvertes par la Commission - en l’occurence par le commissaire McCreevy - nous devrions suivre le principe selon lequel, si les États membres parviennent à lutter efficacement contre les conduites addictives, en orientant leurs monopoles nationaux vers une offre aussi limitée que possible et en offrant la protection la plus élevée possible au consommateur, ils devraient être autorisés à maintenir ces monopoles à l’avenir, sous le contrôle et les auspices de la législation européenne et de la Commission.
Wir sollten anders als in dem Vertragsverletzungsverfahren, das die Kommission – also Sie, Herr Kommissar McCreevy – eingeleitet hat, eher nach dem Prinzip verfahren, dass die Mitgliedstaaten, wenn sie wirklich effektiv Suchtprävention betreiben, indem sie ihre nationalen Monopole so ausrichten, dass ein möglichst geringes und möglichst verbraucherbeschützendes Angebot angestrebt wird, die Möglichkeit bekommen, diese Monopole – unter der Kontrolle und der Aufsicht des europäischen Rechts und der Europäischen Kommission – auch in Zukunft zu halten.