A. considérant l'attaque lancée contre le centre Srey Khan de l'association AFESIP, où se trouvaient 91 femmes et jeunes filles, dont 83 avaient été libérées, la veille, par des agents travaillant pour le département chargé de la lutte contre la traite des êtres humains et la protection des enfants, d'un hôtel où l'on pratiquait la prostitution,
A. in Erwägung des Angriffs auf das Srey Khan-Zentrum der Organisation AFESIP, in dem sich 91 Frauen und Mädchen aufhielten, von denen 83 erst am Tag zuvor von Beamten, die für die Abteilung zur Bekämpfung des Menschenhandels und Jugendschutz arbeiteten, aus einem Hotel befreit wurden, in dem Prostitution betrieben wurde,