Par exemple, les zones mortes représentent aujourd’hui jusqu’à un sixième des fonds marins de la Baltique, en raison de quantités excessives d’éléments nutritifs. Pour réduire leur nombre, il est nécessaire de coordonner davantage les investissements réalisés en matière d’installations de traitement des eaux usées, notamment pour éliminer le phosphore et de l’azote.
So bedarf es weiterer koordinierter Investitionen in Kläranlagen, u. a. zur Phosphat- und Stickstoffentfernung, um die Zahl toter Zonen in der Ostsee zu verringern, die sich derzeit infolge des Nährstoffüberschusses auf bis zu einem Sechstel des Meeresbodens ausbreiten.