Even with $2 million in upgrades which would allow CPIC to include information regarding the addresses of criminals, provincial governments from coast to coast, from Charlottetown to Victoria, have expressed serious doubts about whether the national police database is up to the job of tracking dangerous sex offenders.
Malgré des améliorations de deux millions de dollars qui permettraient au CIPC d'inclure les adresses des criminels, les gouvernements provinciaux d'un bout à l'autre du pays, de Charlottetown à Victoria, ont exprimé de sérieux doutes quant à la capacité de cette base de données policières nationale de bien suivre la trace des délinquants sexuels dangereux.